Dans l’attente d’un vaccin ou d’un traitement pour faire face au coronavirus, nous nous habituons à vivre selon de nouvelles normes… celles du « monde d’après » comme nous le lisons bien souvent depuis le début de la crise sanitaire. Nous voyageons moins et moins loin… nous sortons moins et travaillons à domicile… et bien souvent, l’expérience numérique se substitue au réel, que ce soit sur Zoom, Netflix ou sur un vélo d’appartement connecté. Cette nouvelle façon de vivre qui s’impose à tous, ressemble à bien des égards à celle de la génération milléniale (née entre 1980 et 2000). Connectée en permanence, souvent plus à l’aise avec un téléphone portable, elle affiche des comportements de consommation qui offrent un bel aperçu de la société post-covid.
Par Basile Devedjian, Gérant/Analyste
Notre Directeur Général, Marc Riez, revient sur ce sujet d'actualité, au coeur des préoccupations des investisseurs dans le contexte de plans de sauvetage inédits mis en place à travers le monde.
L’accélération de l’épidémie du coronavirus, notamment en Italie, pays le plus touché hors d’Asie, a alimenté le risque d’une crise sanitaire durable Au delà du drame social, les investisseurs ont pris acte de la menace qui pèse désormais sur l’économie mondiale, en particulier eu égard aux différentes mesures préventives prises pour endiguer l’épidémie telles que les fermetures d’usines créant de facto des ruptures dans les chaînes d’approvisionnement, déjà questionnées par la guerre commerciale. Quoi qu’il en soit, la visibilité sur le cycle s’est soudainement détériorée, incitant les investisseurs à prendre des bénéfices...
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